Avec son design inspiré des lumières du Nord, aurores boréales nées de la rencontre des vents solaires et de la magnétosphère terrestre, le Northern Lights est tendance à plus d’un titre.
Tendance tout d’abord, car il mêle technologies analogique et numérique dans ce qu’elles ont de meilleur : le numérique contrôle les temps de retard, la prise en charge du signal sonore restant 100% analogique. Chacune est à sa place faisant ce qu’elle fait le mieux, un choix moderne et cohérent car la Northern Lights s’inscrit dans une longue lignée de chambres d’écho légendaires.
Tendance toujours, car il fait partie de ces effets « supercharged », jugez plutôt : de 50 à 1000 ms de retard, 4 têtes magnétiques virtuelles réglables en volume, tap tempo affectable à l’une ou l’autre des têtes (switch Master Head) pour s’adapter à différents usages, effet de modulation interne et, si cela ne vous suffit pas, une boucle permettant d’intercaler des effets externes (volume, overdrive, EQ etc.) qui agiront sur les répétitions. Et on ne parle même pas du mode Trail autorisant les répétitions à continuer après l’arrêt de l’effet, de la possibilité de séparer signaux dry et wet pour bosser en parallèle ou du choix entre True Bypass et bypass bufferisé.
Tendance enfin, car tout cela est rendu simplissime d’emploi, avec des potentiomètres bien identifiés, une connectique claire s’étalant sur tout l’avant de la pédale la rendant éminemment « pedalboard friendly » et deux switches « soft switching » que l’on appréciera, en scène comme en studio, pour leur silence et leur réactivité.
La Northern Lights s’impose comme un delay global, musicalement polyvalent, inspirant, prêt à vous seconder quel que soit votre besoin du moment. Alors, à vous de jouer…
