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Batterie Magazine numéro 196

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Si les atouts essentiels pour forger un grand batteur sont l’intensité, la sensibilité et la musicalité, alors il n’y a rien d’étonnant à ce que Steve Gadd trône toujours au sommet des musiciens les plus respectés de la planète groove. Au cours des cinquante dernières années, notre homme a apposé sa signature sur plusieurs milliers d’enregistrements live et studio, créant bon nombre de patterns emblématiques et de sublimes trouvailles auprès d’artistes aussi diversifiés qu’Eric Clapton, Steely Dan, Paul Simon, Chick Corea, Ray Charles, Frank Sinatra, Weather Report, James Taylor, Diana Ross, Aretha Franklin, Simon & Garfunkel, ou encore Michael Brecker, Peter Gabriel, Joe Cocker, Rickie Lee Jones, Paul McCartney... La liste est interminable !

Si les atouts essentiels pour forger un grand batteur sont l’intensité, la sensibilité et la musicalité, alors il n’y a rien d’étonnant à ce que Steve Gadd trône toujours au sommet des musiciens les plus respectés de la planète groove. Au cours des cinquante dernières années, notre homme a apposé sa signature sur plusieurs milliers d’enregistrements live et studio, créant bon nombre de patterns emblématiques et de sublimes trouvailles auprès d’artistes aussi diversifiés qu’Eric Clapton, Steely Dan, Paul Simon, Chick Corea, Ray Charles, Frank Sinatra, Weather Report, James Taylor, Diana Ross, Aretha Franklin, Simon & Garfunkel, ou encore Michael Brecker, Peter Gabriel, Joe Cocker, Rickie Lee Jones, Paul McCartney... La liste est interminable !
À 77 ans, le jeu du sorcier Steve Gadd reste viscéralement magique. Avec lui, la technique n’est jamais apparente et son toucher indéfinissable lui permet de donner une dimension quasi-mystique aux grooves les plus rudimentaires. La récente venue de l’Américain à Paris (le 29 septembre) avec James Taylor nous a permis de voir, une nouvelle fois, le phénomène de nos propres yeux. Convoqués par le Docteur en personne à l’Olympia quelques heures avant le show pour le shooting photo de rigueur, nous avons eu le privilège d’échanger longuement avec lui. Derrière cette apparente sagesse, Steve a toujours cette étincelle dans les yeux, surtout lorsqu’il aborde le sujet des rudiments de sa nouvelle méthode, dont il nous présente quelques échantillons, baguettes en mains, en tapant sur l’estrade de sa batterie. Un enthousiasme, une curiosité et un besoin d’explorer que son homologue Paco Séry (également au sommaire de ce numéro) a su lui aussi conserver. Comme quoi, certaines passions semblent indéfectibles, même après un demi-siècle de pratique.

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