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Guitare Xtreme Magazine numéro 121

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Parmi les guitar heroes qui ont fait vaciller l’Ancien Monde, David Gilmour est clairement celui qui, après Hendrix, a permis à toute une génération de franchir le mur du son. Son approche organique et texturale de l’instrument, propulsée par l’œuvre et le succès pharaonique de Pink Floyd, continue de susciter bien des fantasmes chez les guitaristes. Le 50e anniversaire de la sortie de The Dark Side of the Moon a été pour nous l’opportunité de faire un zoom sur cette période si cruciale pour l’histoire du groupe, pour la musique populaire, et plus largement pour la société, avec la défaite des utopies portées par le mouvement hippie, le psychédélisme et Mai 68.

Parmi les guitar heroes qui ont fait vaciller l’Ancien Monde, David Gilmour est clairement celui qui, après Hendrix, a permis à toute une génération de franchir le mur du son. Son approche organique et texturale de l’instrument, propulsée par l’œuvre et le succès pharaonique de Pink Floyd, continue de susciter bien des fantasmes chez les guitaristes. Le 50e anniversaire de la sortie de The Dark Side of the Moon a été pour nous l’opportunité de faire un zoom sur cette période si cruciale pour l’histoire du groupe, pour la musique populaire, et plus largement pour la société, avec la défaite des utopies portées par le mouvement hippie, le psychédélisme et Mai 68. Bien sûr, nous avons abordé cette « exhumation » au travers du prisme de la guitare de David Gilmour, fil conducteur de ce voyage kaléidoscopique, scrutant l’évolution de son jeu dans les années qui ont précédé l’enregistrement, mais également cette quête sonique effrénée qui l’a conduit à pousser dans ses derniers retranchements le matos rudimentaire existant à l’époque pour redéfinir l’instrument. Une belle occasion de replonger nos oreilles au cœur de cet album, l’un des trois plus vendus de l’histoire, surtout que Warner sort un coffret classieux avec un nouveau mastering mettant en exergue le travail d’Alan Parsons (The Dark Side of the Moon a longtemps été l’album fétiche des démonstrateurs de matériel hi-fi), un mixage en Dolby Atmos (décollage garanti) et le fameux Live At Wembley Empire Pool de Londres en 1974, dispo pour la première fois en vinyle. Cette commémoration comporte également un volet plus pathétique, puisque l’égocentrique Roger Waters, dans un élan de pur révisionnisme, a choisi de réenregistrer l’album en occultant totalement les performances des autres musiciens, clamant qu’il s’agit de SON œuvre. Il faudrait ne pas vieillir. Nous vous souhaitons une excellente lecture !

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