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Guitare Xtreme Magazine numéro 124

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Dans ma (longue) carrière de journaliste « orienté guitare », Nuno Bettencourt fait partie de ceux qui m’ont le plus impressionné. Dans les années 1990, alors que je travaillais pour l’ancien magazine Guitare & Claviers (tout en étudiant en parallèle à l’American School of Modern Music), il m’a été offert un privilège absolument scandaleux : celui de pouvoir observer en privé la plupart de mes héros guitare en main et de façon intime.

Dans ma (longue) carrière de journaliste « orienté guitare », Nuno Bettencourt fait partie de ceux qui m’ont le plus impressionné. Dans les années 1990, alors que je travaillais pour l’ancien magazine Guitare & Claviers (tout en étudiant en parallèle à l’American School of Modern Music), il m’a été offert un privilège absolument scandaleux : celui de pouvoir observer en privé la plupart de mes héros guitare en main et de façon intime. D’Yngwie Malmsteen à Eddie Van Halen, en passant par Brian May, Steve Vai, Joe Satriani, Kirk Hammett, Paul Gilbert, John Scofield, Dimebag Darrell, Ron Thal et beaucoup d’autres, tous se sont branchés au moins une fois dans le petit practice amp bon marché que je trimballais avec moi lorsque j’animais une rubrique pédagogique intitulée Master Class. Ces entrevues duraient au moins une heure et se déroulaient souvent dans des lieux insolites (chambres d’hôtel les jours de promo, loges ou même tour bus). Je n’en perdais pas une miette. À ce petit jeu difficile, et sans citer de noms, tous ne s’en sont pas bien sortis, mais Nuno, lui, a toujours été impérial. Même rincé par le jetlag, la constance et l’énergie de son jeu restent au summum, avec cette virtuosité naturelle dénuée de tout académisme, totalement ancrée dans la pulse, et cette façon très émotionnelle de rentrer dans la guitare alliant efficience et élégance du geste, et qui prend encore plus de sens et d’envergure lorsque ce performer-né investit la scène avec abandon total et sensualité. Quel spectacle ! Je suis très heureux de dédier la couverture de notre numéro 124 à cette icône du rock qui, pour ne rien gâcher, est à la ville l’un des plus chics types qui soient.

Ludovic Egraz

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